Voisine Roch

Kibera

Voisine Roch


Elle a de grands yeux qui dérangent
Cette ville un peu étrange
Une longue voie de chemin de fer
Presqu'une route et puis l'enfer
Où rien ne fleurit, rien ne change

Ses enfants naissent, et vivent
Et passent
Aux sourires habillés de crasse
Kibera non rien ne t'efface