Je ne reviens qu'un jour sur deux Je me retiens, j'ai l'air heureux Je ne sais plus comment le dire C'est si tordu que ça déchire Je n'voudrais pas qu'on paralyse Ce qu'on n'a pas qu'on dévalise C'est si facile en équilibre Seule sur un fil, on se sent libre Mais ça ne sert à rien, si c'est éteint Je descends d'où, c'était jamais Je descends d'où, c'était jamais Ce qu'il fallait, ce que j'étais Ce qu'il fallait, ce que j'étais J'ai presque rien qui me retiens Vu d'en dessous, on étaient bien J'ai presque rien qui me retiens Mais presque tout, quand ça reviens J'ai appelé un pis-aller Je n'ai pas su, pu lui parler Ça m'a donné des inquiétudes Je ne voulais pas, par solitude Me retrouver, nulle-part Comme d'habitude Je descends d'où, c'était jamais Je descends d'où, c'était jamais Ce qu'il fallait, ce que j'étais Je descends d'où, c'était jamais Je descends d'où, c'était jamais Ce qu'il fallait, ce que j'étais Ce qu'il fallait, ce que j'étais J'ai presque rien, qui me retiens Mais presque tout, quand ça reviens J'ai presque rien, qui me retiens Mais presque tout, quand tu reviens J'ai presque rien, qui me retiens Mais presque tout, quand ça reviens J'ai presque rien, qui me retiens Mais presque tout, quand tu reviens