La main d'Abel, vibrante de joie, griffait la terre S'enfouir pour révéler déformer les sourires des prismes Tous les viscères de Tellur s'enroulent à nos pieds La main d'Abel, soulevant la foule, ces corps d'envers Frères er soeurs dos à dos, partages, mensonges Tous les viscères de Tellur empêchent de créer Ils vivent le jour pour la lumière Ils vivent le jour a l'ombre d'eux-mêmes Eternel soit l'instant où les auras naissent J'avais besoin de lire les lignes Pour envelopper la misère froide De tous les autres feux La main d'Abel les recouvrit