L'équilibre que nous avons n'est qu'habitude Et vulgaire adaptation au grand tout " Au désordre ordonné à l'infini Aux abdomens définis finition Le drapeau s'agite Et tu es en train de sombrer De la véritable eau sombre Comme celle des salamandres De source de printemps Mais sous la limande aigrie Tu restes étendu à demi sur les couverture Une langue n'existe t-elle Que par rapport à l'autre D'où l'utilité d'avoir fait un tour Avec tous ses amis à Babel Oued Au début puis tout seul à la fin Le drapeau s'agite Et tu es en train de sombrer De la véritable eau sombre Comme celle des salamandres De source de printemps Mais sous la limande aigrie Tu restes étendue demi-nu sous les couvertures Tu as pris sa jeunesse toi tu la perds Loin de toute hypothèse d'évasion Afin de te garder proche de ses faits Ebruités par le doux balancier Le drapeau s'agite Et tu es en train de sombrer De la véritable eau sombre Comme celle des salamandres De source de printemps Mais sous la limande aigrie Tu restes étendu demi-nu sous les couvertures Tu " marchons " sur les couvertures…