Cadavre divin, Immondice de l'idole céleste Dont l'existence N'est qu'un sépulcre, Son grand sanctuaire nourrit en ses entrailles noirâtres Les détenus parasites qui animent sa propriété. Qu'est-ce qui est propre à nous ? Malheureux, Toi qui avale les détritus du drame Pendant que ton œil consciencieux Est isolé au fond de l'incertitude Et tu immerges pour rebrousser chemin Encore une fois, Encore plus profond Tu n'as voulu devenir Ce détenu illusionné et contrôlé De la première parure fourbe La clarté des idoles Qui emprisonne