Depuis ce jour d'été ou la mort ta surprise Je m'avance ébêté au milieu des statuts Et dans l'écho glacé qui hante les églises Surgissant du passé ton fantôme me tue Dans ces corps d'une nuit dans ces corps ou je saigne Ces corps ou je m'épuise à tenter de voler Ces corps ou je m'enfouis c'est encore toi qui règne Aucun être d'ici n'a pu me consoler Aucun être qui vit n'a su me consoler. Claudia, quand les vagues s'avancent Claudia ne m'abandonne pas Même fou, c'est à toi qu'il pense Ce coeur, qui ne m'appartient pas Combien de temps encore à broyer du silence Je vis dans un décor que Troëmer à construit Je vis dans un décor bâti par ton absence Et ou le vent du nord est le seul qui gémit Et ce vent qui me mort m'invente que je vis Dans les quarantièmes rugissant Je te jette un "Je t'aime" que je sens Au milieu des remous des courants qui s'en veulent Ou les vents se déchirent ou les vagues s'engueulent Je suis seul, seul... Claudia, quand les vagues s'avancent Claudia, ne m'abandonne pas Même fou c'est à toi qu'il pense Ce coeur, qui ne m'appartient pas Claudia, quand les vagues s'avancent Claudia, ne m'abandonne pas Claudia, quand les vagues s'avancent Claudia Ne m'abandonne pas Claudia Les vagues... Les vagues... Les vagues...