Un poing en l'air, une main ouverte Car l'un n'empêche pas l'autre Dans l'ombre j'aiguise mon vers Car l'ange m'a dit « t'as la parole » Donne de la force à tes frères Sois toi et brise tes chaines Pour défendre ce qui t'es cher Quitte à vexer les gens de la haute Une politique carotte Et son sourire de tortionnaire Et une grande partie de la terre T'as pris une pièce d'or pour soleil Ici les infos fusent, sentiments de colère J'accuse la frustration d'homicide A l'intérieur de nous-mêmes Qu'on se le dise, Personne n'est mauvais, on le devient On baisse la tête Pour ne plus voir le visage de demain Chacun sa route, parti de tout, Ou bien parti de rien Parti un jour le coeur en fête Et l'âme remplie de chagrin De toute façon, à chacun sa montagne à gravir, Son passé, son avenir, Mon ami cueille ta vie, le temps passe vite L'âme triste car tous ici disent avoir la vérité Le monde des hommes une fausse note, Et à chacun d'y remédier A l'ombre des jugements j'aiguise mes vers Car les mots peuvent défaire Des noeuds coincés dans l'âme Je suis qu'une sista, je parle à mes frères Et trop sincère pour me laisser faire Très loin de leur bunker Venue cracher ma vérité Je l'ai juré la main sur le coeur (x2) Sourire au coeur et larme à l'oeil, Car l'un n'empêche pas l'autre Je pèse mes mots car l'ange m'a dit Beaucoup on compris ton ras-le-bol Donne de la force à tes soeurs, Sois toi et persévère Vois les merveilles malgré le système Et retranscris tant que c'est réel La rage viens de l'amour mais reste une force neutre, Elle doit revenir à l'amour Car le monde des des hommes est l'unique fausse note Sans ça, c'est devenir semblables A tout ceux qu'on combat Qu'on comprennent bien qu'un (…) ne nous correspond pas En bas ça se bat, ça survie Ca filme ça boit, pour sourire Les vibes s'emballent, ça (…) Alors qu'il faudrait qu'on s'unisse Tout leurs slogans, rendent stupides Pas venu sur terre, pour subir Chaque instant un saut de l'ange Dites-leurs que je n'ai plus peur du vide Loin du biz de son fils Plein de gens ont entendu l'appel Comble d'une incomprise vous avez allégé ma peine Fuck, fuck, le système C'est se retirer de son emprise Oui et rend triste enfant d'une terre en crise D'un monde parti en vrille