Alexandra a rendez-vous avec un magicien gourou, elle traverse les rues de Cuba il faut dire qu'elle n'a plus le choix. Elle a pris avant de partir trois caipirinha pour tenir, y'a le soleil qui tape fort sur ses blessures et sur ses torts. Elle l'a laissé venir, pousser, maintenant il est là, prostré dans ses poumons, dans ses poumons qui ont fané. Elle l'a trop laissé s'approcher et les saisons se sont feutrées, il asphyxie ses jeunes années le nénuphar tue sa beauté. Elle court dans les rues de Cuba elle arrive chez Mr Bâ. Il lui fait des frictions de roses, il l'embobine et prend la pose du plus grand sorcier jamais né, de celui qui va la sauver. Elle l'a laissé venir, pousser, maintenant il est là, prostré dans ses poumons, dans ses poumons qui ont fané. Y'a le nénuphar qui sourit dans ses entrailles il a son nid, maintenant qu'il est bien logé plus question de déménager. Elle l'a trop laissé s'approcher et les saisons se sont feutrées, il asphyxie ses jeunes années le nénuphar tue sa beauté. Mais j'entends les cloches qui sonnent dans les rues de Cuba personne, car une rose s'en est allée car une rose s'est fanée...