Oh marlne les cÏurs saignent et s'accrochent en haut de tes bas oh marlne dans tes veines coule l'amour des soldats et quand ils meurent ou s'endorment c'est la chaleur de voix qui les apaise, et les traine jusqu'en dehors des combats oh marlne, c'est la haine qui nous a amené l¹ mais marlne, dans tes veines coulait l'amour des soldats eux quand ils meurent ou s'endorment c'est dans le creux de tes bras qu'ils s'abandonnent et qu'ils brìlent comme un clope entre tes doigts