L’ombre s’enfuit Adieu beau rêve Ou les baisers s’offraient comme des fleurs La nuit fut brève Hélas pourquoi faut-il que s’achève La chanson du bonheur L’ombre s’enfuit Ma lèvre hésite à murmurer Après de doux aveux Des mots d’adieu Le soleil paraît trop vite Faut-il donc que l’on se quitte Que m’importe à moi l’envol du temps Je voudrais tant retarder l’aurore Et t’aimer encore Éperdument, éperdument