(Tchou, tchou, tchou...) Mon cerisier, cerisier, cerisier des beaux dimanches, Voulait pour un printemps revêtir une robe blanche Quand l'amour est venu, il est resté sans défense Sur le bord du chemin qui mène à sa résidence, Marianne s'en venait Elle jetait à la ronde des sourires et des baisers Leur amour venant au monde avait tout illuminé La nature était en fête, tout se mit à fredonner (Lai la lai...) Mon cerisier, cerisier, cerisier des beaux dimanches, A dû dès le printemps quitter sa parure blanche Quand l'amour est parti, il est resté sans défense Sur le bord du chemin qui mène à sa résidence, Marianne s'en allait Elle quittait sans un murmure celui qu'elle avait aimé Elle fuyait, la parjure, sans un signe d'amitié Le laissant à sa défaite. Las, la fête continuait (Lai la lai...) Ils sont partis mes printemps, sont partis en ribambelle Un beau jour dans le vent j'ai tiré sur la ficelle C'en est fini, mon cœur, oui, c'en est fini des belles Sur le bord du chemin qui la ramenait chez elle, Marianne s'en est allée