Ad Vitam Aeternam

Les Méandres De L'Ame

Ad Vitam Aeternam


A présent que tu erres 
A travers des terres 
Qui me sont étrangères 
Là où la nuit est souveraine… 

Parfois ton visage émerge 
De cette foule incandescente… 
Je vois alors clair en moi. 

Je reste prisonnière 
De peur que tu ne disparaisses, 
Tel un amer souvenir, 
Qui hanterait mon âme. 

Je chanterai ce blâme, 
Pétrifiée dans ma destinée. 
Les anges t'ont pris la main 
Puis ont scellé ton dam. 

Parfois ta voix caresse me sens 
Et me laisse dans l'absence 
De ce monde rempli de messages insensés. 

Sons, couleurs s'évanouissent autour de moi, 
Je m'achemine vers un monde invisible 
Où règnent les songes. 

Je reste prisonnière 
De peur que tu ne disparaisses, 
Tel un amer souvenir, 
Qui hanterait mon âme. 

En moi survit l'espoir 
Un jour de te revoir. 
Ensemble, remontons le temps 
Et gagnons notre sphère originelle ! 

Ta voix me parvient, 
Etouffée par les cris des damnés… 
Et ta douleur se déverse 
Dans les méandres de mon âmes… 

May that ghost way cast my spell to void 
By taking away with my life coldness, pain and oblivion.