Je l'imagine comme une maison Avec des apart pour fenêtres Ouvertes sur la rue, ou les gens se parlent Même sans ce connaître Avec des étages de couleurs, des escaliers de culture Des generations qui saltent, celles qui ont cassé les murs Avec les mot pour, ce rejoindre de l'autre coté Ici ont dit que le bonheur n'a raison d'être que partagé Ont partage nos doûtes, nos questions et nos fou rires Ont tue la peur commune qui nous empêche de grandir Je l'imagine avec une cuisine, les odeurs plun les couloirs Avec les gosses léchant les babines, un goût pour chaque histoire Une pincée de poésie, dans nos assietes et dans la tête Si la folie n'a pas ça place, ici sachez que sont chant est fert Sans s'arreter, rentre sans fraper Les gens qui vivent la ont fini, par jeter la clé Ont fini par ce dire je t'aime pour ne surtout pas oublier Que si leur vie est un poème, leur maison est un quartier Mon quartier, est un quartier populaire Ce quartier, dans ma ville une vue de perle Mon quartier avec ces gens et ces lumières Un quartier, dans un monde imaginaire Mon quartier, est un quartier populaire Ce quartier, dans ma ville une vue de perle Mon quartier avec ces gens et ces lumières Un quartier, dans un monde imaginaire Je l'imagine avec un jardim, accroché a nos mémoires Des arbres par leur racines, et au millieu une balançoire Une sagesse que l'ont devine dans les yeux de nos ainé Un bon pour refaire le monde, et d'autre pour le dessiné Cent mètres carré de gason pas de mûr ni de barrière Les enfant sous le jupon, de ces mères que l'ont admire Un chanteur et ça guitarre, une voix qui nous bernes Qui nous permet de pleurer, qui nous permet de rire Des entrées sans les code, sans les poinhées ou leurs sérrures Ici tout le monde ce respect, ça commode a la nature De lettre pour ce qui l'aiment ou ceux qui le possède Ont attend pas qu'il crève, pour envoyer de l'aide Je l'imagine avec un poid, avec un jeux, avec un nou Avec une pensée au pluriel, et sur les tuiles a jenou Des romantiques, qui ce bécottent sous un ciel étoilé Le temp d'un rêve est court, alors ont apprend á s'arrreter Mon quartier, est un quartier populaire Ce quartier, dans ma ville une vue de perle Mon quartier avec ces gens et ces lumières Un quartier, dans un monde imaginaire Je l'imagine, je l'imagine et je ne fait que d'imaginer Sorti de mon sommeil je me retrouve né à né Avec la voisine du quatrième, qui n'aime plus que sont chat Son humeur est cuième, le mot bonjour elle connaît pas Il n'y a pas de banc ni de jardim, le soleil pène a entrer Entre les bourse et le béton, refaire le monde c'est oublier Il y a celui qui ce dit dirlo d'une multinacional Mais qui pointent a l'ORP pour toucher, presque que dal Il y a des portes avec verrou, plus de vérin que de petit loups Ils ont deserté les jupons de leurs mères, des missionaires La sagesse, je m'en fout d'abord ce que je veux devenir c'est millionaire Même si pour ça, je doit déraciner les arbres de tous les hémisphères Il y a plus personne dans les halle, parce que les autres ont des codes Ont a viré chanteur et ça guitarre, c'est plus trop a la mode Ont parle d'un monde virtuel, sur la toile ouvre ta fenêtre Regarde le ciel, il y a plus d'étoile et sur les tuiles c'est plus des êtres Mais des antènes parabol, dit-moi t'en a pas ras-le-bol Toi qui revait d'une grande maison comme quartier populaire Il ne te reste plus que ta raison et tu ne t'en souvient plus par coeur Il ne te reste plus que ta chanson mais tu ne te rappelle plus de l'aire Ton quartier, c'est mon quartier, c'est mon quartier Mon quartier, est un quartier populaire Ce quartier, dans ma ville une vue de perle Mon quartier avec ces gens et ces lumières Un quartier, dans un monde imaginaire