Au grand casino (Oh oh oh) De Monte-Carlo (Oh oh oh) Un jour Fernando (Oh oh oh) Avait perdu gros (Oh oh oh) Il prit ses trois derniers pesos Et en leur donnant deux pesos (Leur dit Adios !) Il joua le zéro (Oh oh oh) Et ce numéro (Oh oh oh) Sortit aussitôt (Oh oh oh) Et puis à nouveau (Oh oh oh) Alors, Fernando, ébloui Voyait s'entasser devant lui (Des piles de louis) Devant cette veine inespérée Tous les croupiers sidérés Le voyaient bientôt Propriétaire du grand casino Mais quand Fernando (Oh oh oh) Voulut gagner trop (Oh oh oh) La chance aussitôt (Oh oh oh) Lui tourna le dos (Oh oh oh) Tout le dimanche soir, il perdit Et se retrouva le lundi (Sans un radis) Et c'est alors qu'il rencontra Señorita Fernanda Qui lui prit le bras Très gentiment et le consola Pauvre Fernando (oh oh oh) Tu as le cœur gros (oh oh oh) Oublie les bancos (oh oh oh) De Monte-Carlo (oh oh oh) Au jeu, on n' gagne pas tous les jours Il vaut mieux la chance en amour (Ça dure toujours)