12 décembre 91, date fatidique pour toi les choses ont changé Quand dans les bras de la fatalité ton frère s'est rangé Comme tu me le dis c'était écrit ce jour ou il vous a quitté On croise sa destinée par des chemins qu'on ne peut pas éviter Habiter par l'austérité, la douleur que tu détiens Je sais que tu meurs autant de fois que tu perds l'un des tiens Aujourd'hui je retiens ces larmes pesantes et tragiques Qui traduisent ces moments névralgiques nostalgiques Amnésique, tu aimerais l'être qaund tu repenses à cette fois Ou tu l'as emmené avec toi, qu'il est tombé dans le coma A qui la faute dis moi sur ta propre culpabilité tu déplores Sache que la force de l'âme est préférable à la beauté des pleurs J'instaure ces pensées pour atténuer ce mal de vivre es mots délivrent la la mort et que la flamme ravive si j'arrive rien qu'une seconde à cicatriser cette blessure J'en serais fière et ravie, oublie cette voix qui te suscurre...