Princess Aniès

C'était écrit

Princess Aniès


12 décembre 91, date fatidique pour toi les choses ont changé
Quand dans les bras de la fatalité ton frère s'est rangé
Comme tu me le dis c'était écrit ce jour ou il vous a quitté
On croise sa destinée par des chemins qu'on ne peut pas éviter
Habiter par l'austérité, la douleur que tu détiens
Je sais que tu meurs autant de fois que tu perds l'un des tiens
Aujourd'hui je retiens ces larmes pesantes et tragiques
Qui traduisent ces moments névralgiques nostalgiques
Amnésique, tu aimerais l'être qaund tu repenses à cette fois
Ou tu l'as emmené avec toi, qu'il est tombé dans le coma
A qui la faute dis moi sur ta propre culpabilité tu déplores
Sache que la force de l'âme est préférable à la beauté des pleurs
J'instaure ces pensées pour atténuer ce mal de vivre
es mots délivrent la la mort et que la flamme ravive
si j'arrive rien qu'une seconde à cicatriser cette blessure
J'en serais fière et ravie, oublie cette voix qui te suscurre...