Chez la jolie Rosette au café du canal Sur le tronc du tilleul qui ombrageait le bal On pouvait lire sous deux cœurs entrelacés Ici on peut apporter ses baisers Moi mes baisers je les avais perdus Et je croyais déjà avoir tout embrassé Mais je ne savais pas que tu étais venue Et que ta bouche neuve en était tapissée La chance jusqu’ici ne m’avait pas souri Sur mon berceau les fées se penchaient pas beaucoup Et chaque fois que j’ tombais dans un carré d’orties Y avait une guêpe qui me piquait dans l’ cou Pourtant ma chance aujourd’hui elle est là