Parmi la foule, je vais, Personne ne connaît le soleil et la mer qui étaient miens Le silence, comme un désert, me demande de repartir. Mes pieds sont fatigués par la longue marche car je ne suis pas à ma place parmi ceux dont le regard est sombre comme le brouillard. Au-dessus de moi, le gris du béton et les lumières de la ville me rendent étrangère.