1er couplet : Constamment entouré de ces gens qui démotivent La vue faussée on se motive Le rham chute libre pour lettres motiv Nos quotidiens faire le mal sans motif Dans le vide suicide collectif La souffrière je suis natif Actif pour prendre des tunes Beaucoup sont captifs du matos j'allume un spliff Me bousille je suis seul fautif On donne de l'importance à ces choses qui ne valent pas la peine Et fusion de Dume nermi nos coeurs meurent tués par la haine La zinka beaucoup s'y sont vu prospérer, espérer la racine Du mot terrain serait le mot entérrer Incarcérer, l'espoir on a du mal a respirer On fout le zbel à nos mères C'est des larmes de sang qu'on leur fait pleurer Tellement bourré qu'on ne voit pas lorsqu'elles s'inquiètent En quête de bonheur comment faire un million sans lance-roquette? Y'a des questions que je me pose quand d'autres n'ont pas eu le temps Cette vie comment je la comtemple Un P38 sur la tempe REFRAIN: Y'a plus besoin d'aller en prison pour péter les plombs Funèbre ou raison truffée de plomb est notre horizon Quand l'illusion est dans mes songes La rétine a besoin de voir autre chose Mieux vaut perdre la vue que la raison 2e couplet : Injure pour nos pères se faire crever à l'heure ou sa salé le faja Ici on redoute le GIR Là où ca tire pour faire genre logique Ca se déchire pour réfléchir L'apologie pour l'ignorance Beaucoup pointe au SAGIR Faut souffrir pour s'assagir Pour rien ca jure Mon séjour sur terre avant que je parte faut que je sois a jour On fout rien de la née-jour On remet ca a un de ces jours On s'enfonce dans le mensonge nos visages sans nour Les gens parlent d'amour, mais Dounia ronge comme ue tumeur Extreme sont nos moeurs, l'oeil du deuil Un cimetière dans ma demeure Une genouilla à genou, les commères s'étonnent ils roulent en Bm Les chômeurs c'est nous On veut changer mais on a peur de ce qu'on veut devenir à la dérive Quitter ce navire avnt qu'il chavire Seul on se met dans la ligne de mire On rêve, on se lêve, on crêve sans devenir hémir Y'a tellement d'ennemis sur mon chemin Y'a pas un jour où on se trompe pas de combat Je suis sur un champ de mines Avant de comparaître, faut qu'on fasse SALAT DJANAZA C'est pour nos smalas, qu'on finissent la ba-bas Inch'allah partir dans de blanc djellaba REFRAIN: 3ème couplet : Il s'agit plus d'un bateau qui tangue mais d'un fleuve en furie Et ca revient comme un boomerang Et moi je chante le couer meurtri Coupé en deux, divisé ma fratrie, je m'isole et j'ai du mal à retirer la camisole de l'esprit On me dit de ma serrer la ceinture J'en ai pas donc je me sers la ficelle Je fais rien seul, rien ne m'appartient ici bas à part mon linceul Eviter le lynchage; besoin de personne qui va laver mon lige sale J'ai parlé d'amour au dessus de moi y'avait une potence Vie intense l'instinct chaque instant a son importance Je trouve plus le sommeil, sur mon seuil la mort a ma porte Vu qu'y a que ca dans notre entourage On croît que les femmes sont toutes de salopes C'est trop tard, l'illusion est dans la pupille On connaît rien en amour et si DIEU nous donnait des filles L'oeil du mensonge c'est voir faux Au pied du mur je monte une échelle Elle mène droit à l'échafaud REFRAIN