Je suis le père et l'outrance incarnée Je suis l'essai de tes nuits délabrées Tu es le fruit, le désir procrée De mon incomparable excès d'autorité Rien que d'y penser ça empêche de rêver Rien que d'en parler ça nettoie du passé Juste se lâcher pour le mot vérité Et ne plus y songer sans devoir se figer Dans un moment si proche De moi, de toi, de moi, de toi Dans un mélange si moche De moi, de toi, de moi Et personne d'autre Je me promène lentement sur tes pleures Excité d'une avance qui érige mon erreur Je veux m'embraser, tu peux m'apprécier Mais je marque en toi l'immoral à jamais Rien que d'y penser ça empêche de rêver Rien que d'en parler ça nettoie du passé Juste se lâcher pour le mot vérité Et ne plus y songer sans devoir se figer Dans un moment si proche De moi, de toi, de moi, de toi Dans un mélange si moche De moi, de toi, de moi Et personne d'autre Ici c'est mon royaume Mon putain de dôme Mon entrejambe Mon apparence Ici c'est mon royaume Mon putain de dôme Ma décadence Sur ton existence Dans un moment si proche De moi, de toi, de moi, de toi Dans un mélange si moche De moi, de toi, de moi, de toi Dans un moment si proche De moi, de toi, de moi, de toi Dans un mélange si moche De moi, de toi, de moi Et personne d'autre Ici c'est mon royaume Mon putain de dôme Mon entrejambe Mon apparence Ici c'est mon royaume Mon putain de dôme Ma décadence Sur ton existence