Dis leur que rien ne va plus, que l'on ne s'écoute plus. Que la réponse usuelle est devenue ; Ma tête est malade, parle donc à mon cul. Que la lune désormais peine à être pleine, & que la haine s'amassent dans les quartiers métisse de la populasse tâche. Hélas, c'est la goutte d'eau qui fait déborder la tasse, & comme on disait dans le bon vieux temps ; "les cartons s'empilent & les piles s'entassent & les tasses s'en tirent sans aucune casse" Et cetera et qui viveras verras car tandis qu'ils trinquent avec leurs verres à pied, Leurs chandelles d'autres trinquent avec leurs gobelets puis chancelles, gobez les ; avalez les ! Bouffez les nos mensonges car tôt ou tard nous finirons par contrôler vos songes. A quoi bon continuer mon énumération ? C'est l'éxition de nos pensées. Regarde par toi même les gouttes de sang tombées sur le sol jonchés de choses, Qui n'on même plus de nom car dans notre tête, C'est une confusion. Tous se confond & tous ses cons font semblant de ne rien voir, Histoire de ne pas être considérés comme le chat noir. Alors dis leur que je brûle de larmes, de harnes, de charme qui incarne cette beauté Refaisant surface éraditant cette vulgarité qui n'a déja plus sa place.