Du temps que j'étais belle et bien un peu puérile Je transformais les hommes en animaux Ô combien de marins, Ô combien d'imbéciles, J'ai changés en pourceaux, J'avais de la malice Jetant mes maléfices Aux compagnons d'Ulysse, Mon nom vous parle encore de légendes anciennes On m'appelle Circé et je suis magicienne