Juliette Noureddine

Le sort de Circé

Juliette Noureddine


Du temps que j'étais belle et bien un peu puérile
Je transformais les hommes en animaux
Ô combien de marins, 
Ô combien d'imbéciles, 
J'ai changés en pourceaux, 
J'avais de la malice
Jetant mes maléfices
Aux compagnons d'Ulysse, 
Mon nom vous parle encore de légendes anciennes
On m'appelle Circé et je suis magicienne