Posté devant la fenêtre Je guette Les âmes esseulées A la faveur de l'automne Posté devant la fenêtre Je regrette De n'y avoir songé Maintenant que tu m'abndonnes A la faveur de l'automne Revient cette douce mélancolie Un, deux, trois, quatre Un peu comme on fredonne De vieilles mélodies Rivé devant le téléphone J'attends Que tu daignes m'appeler Que tu te décides enfin Toi, tes allures de garçonne Rompiez un peu la monotonie De mes journée de mes nuits A la faveur de l'automne Revient cette douce mélancolie Un, deux, trois, quatre Un peu comme on fredonne De vieilles mélodies