L'immense voit trop grand, on m'a oublié c'est flagrant Comme les miens les pions si seulement nous étions conscients de l'enjeu Dangereux, patient, je prépare ma cervelle pour mourir Et le temps fera de moi un gêneur meneur de la cause qui mène à périr Fallait l'écrire une fois au moins, sans témoin, j'suis apparu sur feuille Sans témoin on portera le deuil sûr, sur le pavé Plus mûr, on devient plus dur et bien sûr on censure ce qu'on pense Impure la sentence, on injure, on endure, on se serre la ceinture Toujours les mêmes, ça a pas de sens, le diable sur nos têtes Danse, dedans c'est la rage, pense à qui va servir ton geste Echange si tu peux le faire et tranche ce genre de texte Plein de mélange, la cause je reste perplexe, le monde est complexe Sur un pec c'est le mien qui rechigne trop de crimes commet dans la gaze ex Exemple, au point où j'en suis, j'ai jamais fuit et jamais je le ferai Dans le monde le mal se traduit pas, et lache pas, cousin chacun s'abat Refrain La force invisible, indivisible, oublie le sensible Ce qui cible c'est le pouvoir Sans le consentement du peuple, sens le venir ce peuple Qui vient changer le monde, enfin cette secte immonde Difficile fut la décision avant de passer à l'acte fréro Cette phrase fut la claque Piégé par le silence quand il devait protester Vache, transforme les hommes en laches Brise l'espérance, voyage dans le temps Tu verras que les choses n'ont pas changer C'est les mêmes qui créent le danger Certains états augmentent le budget défense bêta C'est pas le seigneur qu'envoie les dons, en seigneur d'état Pour mener cette rebellion, armagedon arrive, prions C'est ça faut s'occuper, le mien je le bat sur sillon Dur à croire ce qui arrive au monde De la part d'un môme aux pensées profondes La somme de mon vécu j'lai eu sans crocs Mafia, sectes, l'état à la tête s'entête, normal faut manger son steak Ca te la coupe non ? Depuis le début le peuple becte seulement les restes Et se fait shooté avec le statut de peste Tu peux douter comme je doute sur pon produit Le Free qui en sème trop du "on va où ?" et "pour qui ?" Je le sais, c'est pas pour un porki, respecte rien encore fini Met des freins aux mecs qui s'unissent Merde, c'est pour quand le réveil, le Hip-Hop et son âme veille Je le sais mais ça va pas durer J'en profite, l'avantage on m'a pas vu venir Peut-être aussi je parle trop vite, faudra s'en souvenir J'peux plus revenir sur mes actes comme la blanche terre des monarques Si je flanche, on saurra pourquoi, l'ange est plein de foi pourtant il est pas là On fait avec, avec des bonnets jaunes ou verts y'a que des sonnets Sur le blanc de travail, mon compas se déploie, faut pas t'étonner Mon emploi, sans blaironner A l'aube du 3° millénaire on n'y croit plus en la justice Le droit chemin semble plein de précipices Illusions, radios, papiers journaux, télévision, on sait plus où on est Si je suis né c'est pour ça, donner ma vision des choses Derrière les visions qu'on donne y'a toujours des décors J'y suis, je suis, la haine qui suit ceux qu'on poursuit Dehors sur le pavé, mec c'est ma vie Ce que j'aime, ce qui se trame, ce qui se crame La flamme produite par la rose se condamne Dégun ose y croit, en phase avec mon destin J'dévoile mon peu de savoir, peu heureux d'voir tant d'peureux Ca rend nerveux de savoir qu'une poignée d'hommes détiennent tant de pouvoir Sal furieux, iena n'est pas faite pour les gueux Cette classe, classe affaire et mondiale J'en rale pas, songer à la phase finale Pour mes potes, la fin, c'est le code pénal Ceux qui sentent que rien ne va c'est normal Il y a sabotage du cerveau Si une personne écoute ce texte, mon boulot sera fait Et puis personne n'est parfait J'attendrai le bon moment pour frapper Attend d'être prèst du but avant d'lacher Le moment est passé, caché on n'le vit plus indéfiniment Un rêve de merdeux : être assis devant le roi Arthur Ma bouche méprise le mensonge face aux langues impures Ce que je vis va servir, ce que je vis fallait l'écrire Faut zoner pour comprendre mes dires Langue de rue, langue qui fut écoutée Petit à petit on l'a tue, au XX° siècle, on l'a tue Refrain