Tu ne crois qu’en ta gueule Aux formes du linceul La poussière et le vent Je ne resterai pas seule À regarder les fleurs Tout au long du printemps Si je demeure à ta merci Il n’y a pas l’ombre d’un souci Je tombe Quand tu simules T’es sans merci D’ailleurs je ne te dis pas merci La honte Tu joues à la marelle Mais n’atteins pas le ciel Moi je n’ai plus vingt ans Ces visions dévorantes Ressemblent à la mort lente J’irai plus tard là bas, crois-moi Si je demeure à ta merci Il n’y a pas l’ombre d’un souci Je tombe