Fischbach

À Ta Merci

Fischbach


Tu ne crois qu’en ta gueule
Aux formes du linceul
La poussière et le vent
Je ne resterai pas seule
À regarder les fleurs
Tout au long du printemps

Si je demeure à ta merci
Il n’y a pas l’ombre d’un souci
Je tombe

Quand tu simules
T’es sans merci
D’ailleurs je ne te dis pas merci
La honte

Tu joues à la marelle
Mais n’atteins pas le ciel
Moi je n’ai plus vingt ans
Ces visions dévorantes
Ressemblent à la mort lente
J’irai plus tard là bas, crois-moi

Si je demeure à ta merci
Il n’y a pas l’ombre d’un souci
Je tombe