La plui embrasse la parapluie Qui garde I'homme solitaire Il marche dans lês rues de Montmatre, Mais, je rêve je rêve Comme rêve le peintre, lê violiniste Et le touriste qui cherche à se rencontrer Dans la nuit Je rêve comme celui qui achète le bonheur Dans une vitrine de lumière Celui qui lit "Lê Monde" Ne connaît pás la solitude De celui qui prend un train à la gare de Lyon. Imaginez la solitude infinie de l'eau Imaginez l'infini... La vitesse... La rivière coule, La pluie tombe. Personne n'embrasse la rivière Personne ne pleure pour la pluie.