Fernand Sardou

Cousine

Fernand Sardou


Autrefois, ma cousine hortense
Arrivait de temps en temps
Chez mes parents ;
Ell' venait passer ses vacances
Dans notre petit' maison
Près de toulon.
C'était dans l' programme,
Quand nous recevions le télégramme,
Le bonheur dans l'âme
A la gar' je courais comme un fou
Mais l'train arrivait tout à coup.
En la voyant je criais : zou… !

Cousine, cousine,
T'es fraîch' comme une praline,
Cousine, cousine,
Coquin de sort,quell' bonn' mine !