Le ciel tisse une couverture en laine, L'été prépare ses quartiers d'hiver, Mais n'aie pas peur de la froidure, Hélène, Je te réchaufferai, je te réchaufferai. Allons rêver sur les bords de la Seine, S'il reste encore quelques petits coins verts, Et si le fond de l'air est frais, Hélène, Je te réchaufferai, je te réchaufferai. Si le temps malgré mon chandail de laine Venait troubler le calme de ta chair, En te serrant tout contre moi, Hélène Je te réchaufferai, je te réchaufferai.