Jean-Louis Aubert

Toi que l'on Homme Pas

Jean-Louis Aubert


Ah, il faudra que tu traces 
Dans le creux de ma main
Une ligne immense
Comme une route 
Comme une blessure
Qui m'approche de toi
Qui m'approche de moi

Ah, il faudra que tu glisses 
Dans le creux de mon oreille
Les mots qu'il faut
Que tu les laisses rouler 
Dans le creux de ma joue
Je veux vivre comme il faut

Tu es le feu, tu es les larmes, 
Tu es la fondation, 
Tu es la tendresse, tu es la tristesse,
La destinée
Toi que l'on n'homme pas
Eh eh, toi que l'on n'homme pas

Ah, il faudra que je pense,
A te téléphoner,
Toi qui n'a pas de numéro,
Tu es pénible à joindre,
A joindre les deux bouts,
Qui font tenir debout

Tu es le feu, tu es le charme,
La fondation, 
Tu es la tendresse, tu es la noblesse,
La destinée
Toi que l'on n'homme pas,
Eh eh, toi que l'on n'homme pas,
yeah, yeah, yeahÂ…
Ouh, ouh, ouhÂ…

Quand tu as décidé, 
De nous laisser tomber,
Nous, on tombe parterre,
Quand tu as décidé, 
D'un peu nous monter,
On s'envoie en l'air

Hum, toi que l'on n'homme pas,
Toi que l'on a du mal à dire, 
Toi que l'on a du mal à croire,
Hum, on sait quand tu es là,
Et le reste du temps,
On t'attend, on t'attend, on t'attend
Yeah, yeah

Tu es le temps, tu es le charme,
Tu es la tendresse, tu es la noblesse,
Tu es le feu, tu es les larmes,
La destinée.
La destinée.

Ta la la la la , la la la laÂ….