Le destin Qui te fit un beau matin, Croiser ma route, Le désirait sans doute Mais depuis, Tout au long des jours et des nuits De toi je doute Et mon rêve s'enfuit. Lorsque tu viens te blottir Aux creux de mes bras, Tes yeux ne peuvent mentir, Mais je n'y crois pas, Sur mon souci Tu ris tout bas, Mais chéri, Ne m'en veux pas ...